L'histoire de la Vache Heureuse
Notre logo :
4 pictogrames qui représentent nos valeurs.
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Une amélioration du bien-être des animaux et la santé du troupeau
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L’amélioration des marges pour l'agriculteur
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Production d'énergie renouvelable en circuit auto/rentable
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Santé mentale
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Double culture/ sol toujours couvert / vie du sol+, des gains environnementaux importants (Baisse des émissions de GES, suppression de l’érosion et des lessivages, production de biodiversité)
Notre philosophie :
Etre un partenaires solide pour les agriculteurs et un référent fiable et disponible.
Notre slogan :
"Une vache heureuse pour un agriculteur heureux !"
A La Vache Heureuse, l’avenir est relativement simple : c’est l’autonomie en protéines et en énergie des fermes d’élevages, en copiant le fonctionnement de la nature par l’utilisation de la biodiversité, qui est au service de la production.
Le fonctionnement d'une ferme en sol vivant est le suivant : une ration de carbone est restituée au sol. Elle est dégradée par les champignons avant d'être consommée par les vers de terre travaillent la terre et l’aèrent. Cette séquestration de carbone supprime le lessivage et l’érosion tout en augmentant la réserve utile en eau de celui-ci. Les bactéries assainissent les effluents et au besoin produisent du biogaz, et les légumineuses fourragères captent l’azote de l’air pour la production des protéines, fourrages riches en carotène qui favorisent la bonne santé des vaches, et des consommateurs qui boivent le lait.
Depuis 2010 :
+ de 10 000 : Personnes formés en présentiel depuis 2013
+ de 5000 : Personnes accueillies sur la ferme pilote d'Anton Sidler depuis 2010
+ de 100000 : Vues video Youtube
Par an :
+ de 300 : Abonnés LVH-Connect/ an
+ de 500 : Formations terrain /an
+ de 800 : Eleveurs sont formés chaque année aux techniques des sols vivants
+ de 1000 : Heures de formation / an
Comment en sommes nous arrivé là
octobre 2013
2013-2016
2017-2021
Fondé en 2013 par Konrad Schreiber, Anton et Angela Sidler
Travail avec les agriculteurs sur l’autonomie en protéines des élevages ruminants et à la séquestration de carbone dans les sols.
Formations de groupe / Colloques / Travail terrain / Travail de groupe/ Digitalisation
Se joignent à l'équipe :
- Antoine formé technicien à la suite de son stage de BTS
- Gautier formé technicien suite à son stage d'ingenieur agro
- Céline formé coordinatrice suite à son stage de reconversion BTS Agricole
2015-2016
Création de notre Pro-logiciel dédié aux agriculteurs sur leur espace privé : LVH-CONNECT.
La Vache heureuse en quelques chiffres
La santé du troupeau
Bovins/ Ovins/Caprins
La bonne santé des ruminants passe en premier lieu par la rumination.
Les acquis de LVH montrent que la Fibre de Haute Technologie - FHT - est l’élément essentiel qui rétablit la santé des troupeaux. Son niveau d’incorporation varie selon le taux de MS de la ration. Une fois réglé le fonctionnement « mécanique » du rumen, il s’agit d’équilibrer l’azote et l’énergie dans l’ensemble du tube digestif (rumen et intestin).
Recourir en permanence à des fourrages trop solubles est une erreur trop fréquente dans les élevages.
Le végétal / production
En adoptant le nouveau modèle écosystémique circulaire, LVH produit une agriculture innovante qui s’élabore à partir des plantes. En effet, la nature nous apprend que la production végétale est maximisée tout au long de l’année, que les sols sont toujours couverts, jamais travaillés, que tous les déchets doivent se recycler sur site et que la biodiversité est le premier outil de production.
Il s’agit dès lors de construire des systèmes de cultures qui copient le fonctionnement de la nature pour faire de l’agriculture.
Il s’agit de nourrir 3 fois : les sols pour produire l’environnement et les climats (séquestration de carbone et production de biodiversité dont les vers de terre sont les emblèmes), les vaches pour produire l’alimentation et, s’il y a assez de biomasse végétale, les productions d’énergie renouvelable.
Demain, le soleil sera l’énergie de l’avenir… La photosynthèse en est son premier maillon pour l’humanité.
Un élevage sur sols vivants ne produit pas de pollution.
Si l’on connait la légendaire performance de la prairie, il en va de même pour le semis direct et la gestion de la couverture végétale permanente des sols.
Il s’agit ici d’un constat visible à l’oeil nu : les sols couverts et vivants produisent la biodiversité et l’environnement. Encore faudrait il que la science se penche sur ce fait évident ! Là où il suffit de regarder et de constater l’évidence, une très grande partie de la société instaure l’agribashing contre l’élevage.
Améliorer son revenu passe par la gestion interne des entreprises.
L’autonomie reste le meilleur axe de travail pour les éleveurs. Dans un contexte d’économie mondialisée, il faut baisser en permanence les charges. C’est possible en produisant son autonomie en protéines pour laquelle le gain économique varie autour de +/- 0,50 € par litre de lait.
D’autres gains importants sont possibles, surtout dans les charges de mécanisation et de carburant, dans l’augmentation des rendements fourragers : les vers de terre travaillent bien mieux la terre que des outils…
Avec la généralisation de fourrages multiespèces, des gains sont envisageables dans la baisse des intrants, notamment les phytos et la mécanisation autour des mélangeuses.
Santé mentale ++
L’élevage des ruminants est le plus vertueux de tous les systèmes agricoles.
Il valorise des plantes fourragères qui, toutes ou presque, se cultivent sans pesticides : les prairies, les luzernières, les méteils, et les sursemis dans les prairies. Pratiquer la double culture de maïs grain épi en semis direct diminue de 50 à 100 % le recours aux pesticides notamment grâce aux innovations agronomiques développées : plantes compagnes, mélanges céréaliers, introduction du Roll’N’Sem.
Les systèmes de cultures sur sols vivants de LVH conduisent à supprimer toutes les pollutions agricoles : érosion, lessivages, GES et restaurent la biodiversité.
La biodiversité ne se protège pas : elle se produit ou se détruit !
Si les techniques sur sols vivants conduisent à développer de grandes quantités de vers de terre, d’acariens, de collemboles, de carabes et de nombreux êtres vivants, travailler les sols intensivement avec des outils conduit à les détruire.
LVH construit des innovations agronomiques qui copient les réussites de la prairie pour les adapter aux cultures céréalières : la prairie n’est elle pas le seul système de culture sans pesticides ? Et si l’on cultivait du blé, du maïs et plein d’autres cultures comme si c’était de l’herbe ?